Du XIIe siècle à Winefunding : la saga signée Arnaud Boué
Si vous pensiez que la Bourgogne, c’était juste une région à vins et à villages paisibles, détrompez-vous ! Derrière les murs ancestraux de Villers-la-Faye (et même du XIIe siècle, rien que ça), la Maison Boué Arnaud s’est forgé un destin bien à part dans la jungle du vin bourguignon. On y croise parfois, côté pratique, des voisins du village de Villars-Fontaine – parce que, sur cette côte de Nuits classée UNESCO en partie, les domaines se serrent les coudes et partagent un même attachement au patrimoine.
Fondée en 2018 par Arnaud Boué lui-même (inutile de chercher : c’est bel et bien un vrai globe-trotteur : Bordeaux, Montpellier SupAgro, puis un détour en Afrique du Sud et en Nouvelle-Zélande… avant de revenir aux racines bourguignonnes pour refermer la boucle viticole), la maison s’inspire à la fois du modèle du domaine viticole traditionnel et de l’esprit de négoce contemporain. Ce n’est pas qu’une histoire de résumé de CV : Arnaud tient à la main toute la chaîne, conduisant la sélection et l’accompagnement des parcelles, mais aussi en lançant en parallèle la gestion du crowdfunding viticole via Winefunding – qui n’a rien d’un gadget, c’est une brique forte de l’identité de la maison.
Côté production, chaque récolte est le fruit d’un savant mélange : des vignes en propre, des contrats longue durée noués avec des vignerons cultiveurs souvent engagés en agriculture biologique ou en biodynamie. À l’heure où le commerce équitable se fait encore rare dans le vin, certains évoquent (en cave ou lors des salons du vin) l’ébauche d’un modèle plus juste, qui bénéficie aux parcelles et à ceux qui les travaillent.
Et question reconnaissance, la Maison Boué Arnaud a déjà pris le pli des palmarès : Guide Hachette des Vins, Revue des Vins de France… tout le gratin de la nouvelle génération !
Pour ceux qui pensent que le terroir, c’est juste une histoire de cailloux ou de calcaire sous la terre, Arnaud répond autant par un selfie médiéval dans la cave que par une stratégie d’investissement participatif et une vraie réflexion sur la transmission du patrimoine viticole bourguignon.
Vos anecdotes bourguignonnes (ou vos selfies médiévaux) sont attendus en commentaire ! 😎
Bourgogne et Côte de Nuits : ces terroirs qui envoient du (vin) lourd
Un tapis de crus, de Nuits-Saint-Georges à Corton Charlemagne
Pas la peine de ressortir le Monopoly des terroirs de Bourgogne (il faudrait bien l’après-midi entière…), mais impossible de passer sous silence les incontournables : Côte de Nuits, Hautes-Côtes-de-Nuits, Nuits-Saint-Georges, Gevrey-Chambertin, ou l’illustre Corton Charlemagne. Sur ces terres modelées par le temps et la main de l’homme, la Maison Boué Arnaud déploie tout son jeu : sélection méticuleuse des parcelles (souvent sur des terres argilo-calcaires au microclimat affirmé), contrats longue durée avec les vignerons, versions bio (labellisées dès 2019, un vrai marqueur) et même quelques tentatives de biodynamie.
Ce qui frappe, au-delà du classement des crus, c’est la mosaïque aromatique proposée : chaque cuvée dévoile un pan différent de la Bourgogne, du style minéral affirmé au fruité gourmand, blanc lumineux ou rouge à la personnalité marquée. Entre deux rangs de vignes, un vigneron voisin de Villars-Fontaine glisse parfois que l’âge moyen des pieds dépasse 40 ans par endroit – un détail qui, dit-on, fait son effet en dégustation. Bref, le choix est vaste !
Une envie de parcourir les vignobles ? Dites-nous votre cru préféré (ou l’incontournable que vous rêvez de déguster) en Bourgogne !
Des raisins bio, des levures qui bossent (naturellement), et des vins qui osent
Le grand cirque de la vinification « nature » – on en parle ?
Pas d’effet d’annonce ni de poudre aux yeux : la ligne maison chez Boué Arnaud reste limpide : seuls les raisins les plus sains (c’est-à-dire bio ou en conversion, parfois directement issus de parcelles certifiées Agriculture Biologique depuis plusieurs millésimes) franchissent le pas de la cuverie, laissons donc la nature orchestrer (merci aux levures indigènes pour la transformation) et confiance totale au fût de chêne pour peaufiner la rondeur du vin. Côté « naturel », d’accord, mais tout passe par un contrôle rigoureux : la charte maison ne laisse rien au hasard, quitte à en surprendre certains — par exemple avec de petites expérimentations inspirées par la biodynamie (préparations à base de plantes, cycles lunaires, etc.).
Ici, la durabilité n’est pas un mot creux : l’impact écologique compte, aussi bien dans le choix des matériaux que dans la gestion des sols (certains parlent de jachère en rotation pour régénérer les parcelles les plus fatiguées, mais tout le monde n’ose pas encore franchir ce pas). Côté aromatique : les fermentations longues révèlent des profils expressifs, parfois déroutants, qui témoignent d’un engagement concret.
Pas besoin de voiler la réalité, ici, c’est le bouchon qui fait le spectacle à chaque ouverture. Quant à Winefunding, plus qu’une simple tendance, c’est clairement une petite révolution, du financement jusqu’au verre dégusté.
Vous hésitez devant un vin nature ? Ou vous en avez découvert un qui vous a surpris ? Partagez vos coups de cœur ou vos interrogations de dégustation ! 🍇
Notre avis sur la Maison Boué Arnaud
Difficile de ne pas être secoué par l’énergie qu’Arnaud Boué insuffle à sa maison et par la manière dont il renouvelle les codes (sans jamais renier le terroir, il faut le souligner). Ce qui séduit particulièrement :
Le clin d’œil à l’histoire (travailler la vigne dans des murs du XIIe, ça change la perspective, d’autant que certains murs sont classés patrimoine),
La sincérité de la démarche (le choix du bio, pas juste une question de tendance mais par vraie conviction – ça se sent sur la longueur),
Et surtout, cette carte où chacun peut trouver son bonheur, du classique maîtrisé au vin qui bouscule, sans fausse note.
On sent l’influence d’un parcours international et d’une attention portée aux enjeux modernes du négoce : gestion des volumes raisonnés (le volume de production annuel reste modéré, autour de quelques milliers de bouteilles par cuvée selon les années), contrôle de qualité constant, et une recherche de transmission, aussi bien du patrimoine que du savoir-faire. Pour ceux qui préfèrent des adresses à taille humaine, inventives et sans routine, voilà clairement une valeur sûre à surveiller. Certains visiteurs racontent que la dégustation sur place s’accompagne parfois d’ateliers : accords vins-fromages, découverte des pratiques artisanales, ou simple balade sur les coteaux pour toucher du doigt l’histoire locale.
Les cuvées qui mettent tout le monde d’accord (ou qui piquent la curiosité)
Tour de cave express : Arthur, Iconoclaste, Côte de Nuits Villages et cie…
Besoin de sillonner la Bourgogne sans quitter son tablier de dégustateur ? Voici le panorama version Maison Boué Arnaud :
Cuvée Arthur : 60 % Pinot Blanc, 40 % Aligoté – 12 mois en fûts, fermentation naturelle ; ça balance entre fruits blancs, tension vive et fraîcheur. On conseille de la servir autour de 11-12°C pour la voir s’épanouir (certains y trouvent un côté floral peu commun).
Bourgogne blanc : minéralité, souplesse, finale nette, parfait sur un poisson grillé ou une recette fraîche. Typiquement, le millésime titre autour de 13° d’alcool, ce qui le rend assez digeste.
Côte de Nuits Villages : un rouge racé, accent fruits rouges, bouche ample et tannins tout en douceur. Il arrive que la dégustation en primeur surprenne par son côté soyeux.
Nuits-Saint-Georges : une structure affirmée, élégante, marquée par des notes de cerise noire et d’épices, plutôt incontournable.
Gevrey-Chambertin : puissance assumée, caractère, l’expression même d’une main de fer sous un gant de velours.
Iconoclaste blanc : pour les curieux en quête d’originalité, arômes décalés, salinité frappante. Les plus audacieux l’essaient quelques années après la mise, pour des notes encore plus insolites.
On trouve aussi des micro-cuvées en expérimentation (millésimes confidentiels ou cuvées parcellaires), souvent proposées dans des packs de découverte ou lors des ateliers dégustation sur place.
Blanc, rouge, millésimé, assemblage surprenant ou terroir emblématique, la gamme offre de quoi satisfaire tous les profils. L’Aligoté réservé à l’apéro du dimanche ? Essayez donc après un passage chez Boué… On sait jamais, ça peut bousculer des certitudes !
La cuvée qui vous ferait craquer pour une grande tablée ? Faites-le nous savoir, ou gardez le mystère… c’est permis ! 😏
Comment (et où) dénicher les bouteilles signées Boué Arnaud ?
Acheter à la source ou passer par les pros, telle est la question…
Rien d’insurmontable : pour un Bourgogne blanc tout en finesse ou l’audace aromatique de l’Arthur, la Maison Boué Arnaud propose :
La boutique officielle en ligne, idéale si vous n’avez pas trouvé votre bonheur chez le caviste ou si la patience vous manque,
Les plateformes innovantes telles que Winefunding (avis aux explorateurs du financement d’avenir… et de la vigne !),
Les cavistes partenaires et leur sélection experte,
Des coffrets variés pour les indécis, ainsi que des éditions limitées pour ceux qui aiment dénicher la rareté.
Côté prix : il y a des options pour toutes les envies, de la pépite abordable au Premier Cru quasi collector. Cerise sur le gâteau, la livraison offerte dès 6 flacons (en France métropolitaine voire en Suisse selon les partenaires). On connaît tous un banquier qui préfèrerait ignorer ce genre de plaisirs… appelons ça la part belle à la culture !
Mode d’achat | Où ? | Pour qui ? |
---|---|---|
Boutique en ligne | Site officiel Maison Boué Arnaud | Pressés, collectionneurs |
Plateforme Winefunding | winefunding.com | Fans de crowdfunding, curieux |
Cavistes spécialisés | Partenaires régionaux/nationaux | Amateurs, curieux, classiques |
Envie de voir les vignes en vrai ? Dans certains cas, des ateliers ou visites du chai sont proposés (sur rendez-vous, selon les saisons et la disponibilité — pensez à demander !). Plutôt adepte de l’achat direct ou expert du benchmark ? Partagez vos bons plans ou découvertes du moment !
La preuve par les prix, les guides — et les buveurs avertis
Palmarès, critiques & crowdfunding : que vaut vraiment la Maison Boué Arnaud
Impossible d’attendre d’avoir des cheveux gris pour se faire remarquer… Les guides Hachette et la Revue des Vins de France ont déjà bien repéré la Maison Boué Arnaud (même sans cent ans au compteur). Certaines cuvées cumulent déjà distinctions et avis flatteurs. Mais ce qui fait la différence, c’est aussi cette communauté de passionnés : soutien via le financement collaboratif sur Winefunding et discussions animées autour des verres (plusieurs clients évoquent un échange direct avec Arnaud lors de salons ou de dégustations, parfois bien plus vivants que n’importe quel palmarès écrit).
Petit clin d’œil à la transparence : le rapport qualité-prix compte, surtout quand les prix s’affichent en toute clarté — la maison défend une philosophie où chaque amateur trouve sa place, du curieux en quête d’originalité à l’habitué exigeant.
Cuvée | Prix indicatif € |
---|---|
Arthur (blanc, élevage long) | 19,90 € – 26,50 € |
Côte de Nuits Villages (blanc/rouge) | 24,00 € – 36,00 € |
Nuits-Saint-Georges | 41,00 € – 55,00 € |
Gevrey-Chambertin | 48,00 € – 59,90 € |
Iconoclaste (blanc) | 18,50 € – 22,90 € |
Tarifs constatés au printemps 2024, livraison offerte dès 6 bouteilles, flexibilité et transparence dans la démarche. Résultat : la maison séduit aussi bien les amateurs exigeants que les curieux en quête d’originalité, en défendant une Bourgogne à la fois novatrice et responsable – avec, pour beaucoup, cette impression d’un vin « artisanal mais ambitieux ».
Déjà goûté ? Le Guide a-t-il pesé dans votre choix, ou bien c’est votre palais (voire un caviste inspiré) qui a tranché ? 💬