Qui est Ludovic Belin ? Héritier, globe-trotter (et marathonien à ses heures perdues) 🏃♂️🍷
Ludovic Belin, ce n’est pas « monsieur tout-le-monde ». Héritier d’une sacrée lignée de vignerons bourguignons, il porte haut le blason de la famille Rapet (mention spéciale à sa maman, Marie Thérèse Rapet, une pointure de Pernand-Vergelesses). Cette famille cultive la vigne depuis des générations sur la Côte d’Or, au cœur de la Bourgogne-Franche-Comté. Mais attention, ici, on ne parle pas d’un vigneron scotché à son terroir avec des œillères ! Ludovic, c’est du « POC ! » version Bourgogne : quelques tours du monde dans la besace, dont l’Oregon (USA) – parce que le Pinot noir c’est aussi un rêve américain – et l’Afrique du Sud (on a vu pire comme Erasmus, avouons-le !).
Côté anecdotes familiales : transmission du savoir-faire, entraide, blagues entre deux vendanges, et ce goût du marathon qui ne lâche pas Ludovic (littéralement, puisqu’il a couru le Marathon des Sables, avec demande en mariage à Laetitia Belin – à l’arrivée svp, histoire de pousser le romantisme et la poussière à son comble). Héritage, expérience sur trois continents, dynamique de réseau parmi les vignerons de Bourgogne, et cœur gros comme une cuvée Grand Cru : voilà Ludovic Belin, messieurs dames, entre tradition et ouverture sur le monde.
Envie d’en savoir plus sur le parcours (presque) sans frontières d’un vigneron pas ordinaire ? Un simple clic par ici…
Le domaine raconté (par la vigne et les vieilles pierres) 🍇🏠
Pas besoin d’une frise chronologique de 4 mètres : tout commence en 1999 (oui, les puristes diront 1997, mais on ne va pas chipoter !). Ludovic pose la première pierre d’un domaine familial qui, à l’origine, pèse… 25 ares. Pas de quoi en faire des tonneaux, mais un joli départ tout de même ! Vingt-cinq ans plus tard, on pointe à 7 hectares bien tassés, sur des terroirs bourguignons de la Côte d’Or qui envoient du lourd : Pernand-Vergelesses, Chorey-les-Beaune, Aloxe-Corton, Savigny-lès-Beaune, Ladoix, et aussi des vignes tout autour de Beaune. On tourne sur la Côte, mais jamais en rond.
Le domaine s’enracine dans une tradition viticole remarquable, enrichie par une transmission de génération en génération. Ici, la lutte raisonnée et l’agriculture responsable sont des principes réels, pas juste un argument de marketing. Les vieux ceps de Pinot noir ou de Chardonnay sont bichonnés comme des trésors de famille. Et chaque moment d’apprentissage (sur le pouce ou verre à la main) se savoure. Les valeurs humaines, c’est bien plus qu’une phrase sur une étiquette : c’est l’art de vivre à la bourguignonne, version famille XXL.
Les secrets, les vieilles pierres et ce coin de Bourgogne qui font la fierté de la Côte d’Or se révèlent ici !
Notre avis : pourquoi on aime le Domaine Ludovic Belin 🧐
Il y a des domaines qu’on admire pour leur histoire, d’autres pour leur audace : ici, on coche toutes les cases. On pourrait en faire des tartines (ou des toasts de gougères), mais le Domaine Ludovic Belin, c’est d’abord un état d’esprit. Cette alliance rare de simplicité, de finesse bourguignonne et d’ouverture sur le monde, on la retrouve à chaque visite, dans chaque bouteille, et même lors des portes ouvertes (plutôt rythmées, on vous le garantit). Mention spéciale à l’accueil : aussi bien marathonien chevronné qu’amateur de balade-dégustation en DS Citroën, chacun trouve sa place – et son verre. La convivialité raisonne autrement ici, et ça fait tout le charme : une Bourgogne vivante, solidaire, et sans chichi. Franchement, on dit « POC » pour Ludovic et sa bande !
Les vins de Ludovic : la Bourgogne version POC ! 🍷🌺
On pourrait épiloguer sur le terroir (et on ne s’en privera pas !), mais allons droit à ce qui compte : la dégustation. Chez Ludovic, on élève du Pinot noir et du Chardonnay, les deux cépages rois de la Bourgogne, sur la mosaïque des appellations contrôlées de la Côte d’Or. Rouge ou blanc, chaque cuvée raconte une histoire de terroir et de passion.
Les rouges ?Du Pinot noir tout en fruits rouges et noirs, une élégance qui fait « tilt ! », avec ce petit grain de minéralité typique. Aloxe-Corton Vieilles Vignes, Haute-Côtes de Beaune, Corton-Bressandes Grand Cru : la Bourgogne en version carte postale, taillée pour les amateurs de vins de garde. Les tannins sont toujours justes, le boisé maîtrisé avec un élevage traditionnel en fût de chêne, et la pureté aromatique, c’est tout le style maison.
Les blancs ?Du Chardonnay pur beurre – et pur cailloux ! Entre notes de fleurs blanches, bouche beurrée et tension minérale, la gamme claque comme un matin de vendanges sur Pernand-Vergelesses (Les Belles Filles, Sous Les Cloux…). Le Corton-Charlemagne Grand Cru s’offre comme le Graal, dégusté parfois lors des Portes Ouvertes pour les plus chanceux.
Appellations, méthode et palmarès :
Élevage traditionnel en fût de chêne, peu de soufre (les lendemains remercient déjà Ludovic)
Production à taille humaine, héritage du savoir-faire familial, appuyée sur le réseau des vignerons de Bourgogne et parfois du négoce local
Cuvées régulièrement notées au Guide Hachette des Vins (2012, 2016, 2018, 2019)
Caractère du vin : finesse, pureté, élégance, longueur, équilibre acidité-matière
Quelques crus qui font saliver :
Corton Charlemagne Grand Cru
Corton-Bressandes Grand Cru
Aloxe-Corton Vieilles Vignes
Haute-Côtes de Beaune
Pernand Vergelesses Les Belles Filles
Pernand Vergelesses Sous Les Cloux
Parcourez tous les crus qui font rayonner la Bourgogne (et envoûtent les papilles) ! 🌟
Pour prolonger l’aventure bourguignonne…
Besoin d’anecdotes supplémentaires, d’astuces de dégustation ou d’histoires de terroir sur ce vigneron hors du commun ? Jetez un œil sur cette page dédiée : le prétexte rêvé pour poursuivre la balade, verre en main ! (Petit secret : certains visiteurs racontent qu’un accueil improvisé sur la terrasse donne parfois lieu à des accords inattendus, comme un Chardonnay servi sur un fromage de chèvre frais.)
Dégustation ou rien : l’expérience, la vraie (on sort la DS Citroën, oui monsieur !) 🚗🍷
Avis aux amateurs d’œnotourisme – ici, c’est du concret et du décalé ! Trois options, au choix (et non cumulables, sauf pour les marathoniens dans l’âme…) :
Dégustation dans les vignes : embarquement vintage en DS Citroën 1972, direction les rangs mythiques du domaine sur la Côte. Les flacons surgissent de la banquette comme par magie.
Visite du caveau : vieilles pierres de la Bourgogne, histoires de vendangeurs et verres pleins. Jusqu’à 18 personnes pour vibrer version « team-building terroir » sur la Côte d’Or.
Sous les platanes : terrasse ombragée, Verre à la main, cousin du Sud, mamie à côté – la dolce vita bourguignonne n’a jamais eu meilleur goût, surtout au cœur de Beaune quand le soleil tape sur les platanes.
Chambres d’hôtes : deux chambres pour 8 personnes, le temps de goûter à la vraie slow life entre deux dégustations ou événements viticoles locaux.
Formule | Lieu | Capacité (pers.) | Bonus caché |
---|---|---|---|
Dégustation DS 1972 | Dans les vignes | 2 à 4 | Fierté du garage, anecdotes de marathon garantie |
Dégustation au caveau | Cave voûtée | Jusqu’à 18 | Verres personnalisés, ambiance « contes & terroir » |
Sous les platanes | Terrasse | 2 à 8 | Option sieste bulldog, soleil ou pluie |
Séjour chambres d’hôtes | Maison de famille | Jusqu’à 8 | Petit-déj maison, vue sur les vignes, accueil max |
Réservez une expérience œnotouristique complète (et testez le confort de la DS, histoire de vous faire remarquer au prochain repas de famille) ! 🚕🍇
Quand solidarité et Bourgogne font la paire (et la bague…) 💍💪
Pas tous les jours qu’un vigneron s’aligne au Marathon des Sables (250 km dans le sable marocain, rien que d’y penser ça pique…). Mais Ludovic Belin, c’est « un marathon, deux défis » ! Premier : boucler la course ; deuxième : demander Laetitia Belin en mariage à l’arrivée (côte romantique VERTIGINEUSE).Et puisque la Bourgogne, ce n’est pas que la vigne, mais aussi du cœur, Ludovic a lancé une cagnotte solidaire aux côtés de son réseau de vignerons et amis, en faveur des enfants malades. Plus de 16 000 € collectés (objectif : 25 000 €), tout ça grâce à l’énergie collective d’un domaine qui ne s’arrête pas aux frontières de la Côte – et d’une famille solidaire, portée par une longue histoire de transmission. Solidarité, sueur, et amour du terroir : la Bourgogne bouge, tout simplement.
Soutenez la cagnotte ou partagez l’aventure humaine de Ludovic (et si l’émotion vous gagne, préparez un mouchoir !) 💙
Comment acheter (ou faire coucou à Ludovic) ? Infos pratiques et petits conseils fins 📦📞
On garde ça simple et direct. Voici les vrais bons plans pour ramener un petit bout de Bourgogne à la mode Belin :
Commander directement au domaine (Eurl Belin Ludovic) : idéal pour croiser Ludovic en short ou en bottes dans ses vignes (selon la saison – parfois même avec un sécateur en main, aperçu véridique).
Passer un coup de fil/mail avant, histoire de vérifier s’il n’est pas en pleine dégustation… ou en train de courir derrière un tracteur.
Tenter l’achat en ligne ou chez un caviste partenaire, parfait pour dénicher les millésimes notés au Guide Hachette des Vins. Certains vieux millésimes se trouvent parfois sur Beaune ou auprès des vignerons du réseau bourguignon.
Venir à l’improviste : franchement, l’effet de surprise, ça marche (presque) à tous les coups.
Se faire conseiller sur place pour accorder les vins à table : un Corton-Bressandes sur un bœuf bourguignon ? Impossible de se tromper. Un Pernand-Vergelesses Les Belles Filles sur du fromage frais ? Essayez aussi sur une pâtisserie locale, il paraît que certains en raffolent.
Garder un œil sur les infos du domaine pour ne pas passer à côté des fameuses Portes Ouvertes de février (le rendez-vous incontournable si vous aimez la Bourgogne, sa gastronomie et toutes ses histoires de vignerons et de transmission).
Achetez, réservez, téléphonez ou, mieux encore, débarquez à l’improviste : Ludovic raffole des surprises (bon, presque) ! 🚀
Petite phrase de la maison :« Chez Ludovic Belin, on ne boit pas seulement un bon Bourgogne, on partage un vrai bout d’histoire. Et quelques anecdotes en bonus. POC ! »